Le Salon du livre gourmand 2012 - 2ème partie dimanche 25 novembre 2012
Au fil de l'Isle Chaque semaine retrouvez sur Périblog les chroniques ou d'autres textes rédigés par Alain Bernard
Dernier clin d'œil au 12e Salon du livre gourmand
1e partie | 2e partie
Le Salon est mort, vive le Salon. Plus que deux ans à attendre le prochain — même si certains s'interrogent sur une annualisation — et déjà de beaux souvenirs.
Après avoir rendu compte depuis mardi et mercredi des immédiates impressions d'après-salon et après les premières images à chaud, Périblog vous offre aujourd'hui une seconde et dernière galerie de portraits d'acteurs de cette fête culturelle et sensorielle, ainsi que d'ultimes échos de ce tonique rendez-vous.







Ultimes échos provenant du salon
Aux enchères de samedi après-midi, à la salle des ventes, en présence des Disciples d'Escoffier en tenue ― dont l'ex-boulangère Hélène Robert ― , les meilleures pièces culinaires vendues par Me Miallon, avec l'expert Henri-Pierre Millescamps, ont été « Les Sardines » de Caillat ( 1 450 euros) et « La Cuisine artistique » d'Urbain Dubois (1 250 euros).
À noter par ailleurs que le vide-greniers des arts de la table, au théâtre, a plutôt bien marché. Outre des stagiaires chinois remarqués, l'École hôtelière de Boulazac a aligné 85 élèves motivés qui se sont particulièrement illustrés pour la soirée inaugurale et pour le restaurant du Salon.
Le libraire Gérard Chastang se dit fort satisfait du Salon. En fait, comme il vendait les livres des chefs Michel Troigros et Michel Portos, on le comprend assez bien…
Outre Pierre Gonthier et Bernard Giraudel pour leur ouvrage lyrique sur la Dordogne, on notait un couple créatif : Joelle Huth et José Corréa, qui signaient « Épices du monde », paru aussi chez La Lauze.
Jean-Christophe Labails, nouveau collaborateur du président Bernard Cazeau, ne cachait pas son bonheur : son bon vieux quartier de Vésone a remporté le concours de cuisine des quartiers.
Auteur Alain Bernard
Voir d'autres photos dans la 1e partie →
Et pour finir...








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Deux lignes de légende et une "photo" pour banaliser l'action la plus sociale du salon du livre gourmand ? On est dans la misère journalistique après ces tonnes de bouffe dont certaines étaient purement virtuelles ! Il est vrai que c'est le parti de gauche dans une ville de "gauche" qui a eue cette initiative
Vite ramener à une virgule dans l'orgie d'information sur des littéraires à la petite cuillère dans la main gauche et un livre dans celle de droite...
Un salon qu'il soit livre où vert doit relater l'ensemble de ses événements et non faire le tri selon les humeurs où les peurs de ne pas plaire aux élus et organisateurs. Peut-être depuis plusieurs années des gens pauvres ont goutés au foie gras et aux spécialités périgourdines ! est-ce un crime de lest-majesté ? pour l'ignorer...
Maurice Melliet
A la seule personne qui n’a pas été ruinée par l’installation dans les gares, magasins et fast-food de distributeurs de bonbon....
Il n’a pas du échapper à Monsieur Écho que certaines personnes, qui en parlent encore, ont trouvé que le salon du livre gourmand avait été inférieur aux autre années qu’il n’y avait pas de traducteurs espagnols suffisant puisque le pays basque espagnol était invité et que les traducteurs traduisaient mal ce que disaient les chefs interrogés...qu’un spectacle espagnol à la Visitation n’était pas à la hauteur... que l’information concernant le repas servi par l’école hôtelière n’était pas bonne puisque si vous demandiez à l’entrée si il fallait réserver on vous répondait que non, alors que lorsque vous vous présentiez devant la tente réservée au repas, on vous demandait si vous aviez réservé et compte tenu de la réponse de revenir 1h plus tard, ce qui permettait d’attendre en plus de l’heure, 1/2 heure debout avant de déjeuner.....
Ce qui n’a pas été le cas d’un homme à canotier, qui est aller s’installer à une table où il a rejoint des amis au grand ébahissement de ceux qui attendaient depuis une heure et des poussières. Surement une personnalité importante !
Moi, J’ai trouvé au contraire que l’accueil était sympathique et excellent, empreint d’une série de jolis sourires à l’entrée, que la prévention civile qui s’occupait des malades et blessés était performante. je l’ai testée. En logeant le grillage pour rejoindre l’entrée – je m’étais garé près de la future mairie- j’ai trébuché sur un bloc de ciment qui en soutenait les poteaux et suis tombé. On m’a dirigé vers la protection civile, celle ci m’a soigné, je les ai revu le lendemain aussi, –j’avais pris un pass exprès-, ils ont fait le nécessaire pour faire retirer le bloc qui dépassait et que cela n’arrive pas à quelqu’un d’autre. J’ai voulu à la sortie montrer l’endroit à ma femme et elle n’a rien pu constater ( mais elle m’a cru, après avoir vérifié mon haleine) Bref, des gens attentifs et charmants...
Concernant le spectacle de la visitation, certes c’était cradingue, mais amusant et puis, il ne s’agissait pas d’espagnols mais de catalans dont la région se situe pour l’instant sur ce qui est considéré encore comme une terre espagnole. Ils parlaient catalan et refusaient de répondre à ceux qui leur parlaient espagnol, en espagnol. Mais , c’est la faute des visiteurs qui auraient du leur parler en basque, puisqu’ils faisaient partie des invités. Nous avons indiqué aux vendeurs de fromages basques qui, eux, à part le basque, ne parlaient qu’espagnol, que brebis ne s’écrivait pas brevis, et c’était rectifié le lendemain; Cela aurait pu être fait plus tôt, mais la traductrice d’espagnol que nous avions aperçue était jeune et le chef de Vitoria était jeune et beau.....enfin, beaucoup plus que les vendeurs de fromage de brebis.
Souvenirs
GG