Alain Bernard au fil de l'Isle - échos 20 MAI 2013 jeudi 23 mai 2013

Au fil de l'Isle Chaque semaine retrouvez sur Périblog les échos, les chroniques ou d'autres textes rédigés par Alain Bernard

Cro-Magnon : un peu plus tard, mais bien plus beau

Aux Eyzies-de-Tayac, en pied de falaise, sur le gisement éponyme périgordin de Cro-Magnon, classé Monument historique et inscrit au Patrimoine mondial par l'Unesco, un musée de site est en gestation. Son histoire épouse curieusement celle de la ligne ferroviaire Agen-Paris. En effet si l'Homme de Cro-Magnon fut découvert en 1868 grâce à des travaux de voirie liés à sa construction, c'est l'acquisition d'un grand espace voisin appartenant à la gare SNCF qui va rendre possible cette ouverture à l'horizon de début 2014.

Devant l'abri Cro-Magnon, le propriétaire Jean-Max Touron avec les préhistoriens Gilles Delluc et Estelle BougardDevant l'abri Cro-Magnon, le propriétaire Jean-Max Touron avec les préhistoriens Gilles Delluc et Estelle Bougard 23 mai 2013 © Alain Bernard

Avec un léger retard technique qui sera mis à profit pour peaufiner le projet et l'accompagner des moyens muséographiques les plus avancés, cette aventure a été rendue possible par une heureuse opportunité de regroupement foncier menée par Jean-Max Touron, passionné de préhistoire et de troglodytisme, secondé par un docteur en préhistoire, Estelle Bougard.

Son souhait est à la fois de sauvegarder ce monument et de le transmettre aux générations futures autour d'un « pôle Cro-Magnon », face aux collections dispersées. Quoiqu'initié par un particulier, ce projet vise finalement un enjeu universel, à l'heure où l'appellation « Sapiens sapiens » tend à faire peu à peu oublier celle de « Cro-Magnon », liée à tout un terroir et à une culture multimillénaire. Premier objectif visé : de 15 à 20 000 visiteurs par an.

Outre la constitution d'un comité scientifique et technique de haut niveau, une Association Cro-Magnon s'est créée pour accompagner ce projet ambitieux, également tourné vers la vulgarisation et la pédagogie . On peut d'ores et déjà y adhérer, en appelant le mardi ou le jeudi le 05 53 13 58 54. En quelque sorte le numéro de M. Cro-Magnon…

Baroin s'enflamme, Daudou se déclare

Deux salles-phares de Périgueux étaient pleines ce mercredi soir : l'amphithéâtre Jean-Moulin pour le film sur le jazz en présence de Louis Panasssié qui l'a dirigé ; le Lux avec François Baroin, l'ancien ministre au look play-boy venu à la rencontre des militants UMP.

Accueilli par les responsables locaux Jérôme Peyrat, Philippe Cornet et Laurent Mossion, il rappela les grandes heures de ce « parti des droits et des devoirs » avant de fustiger les désastreux courants fratricides qui ont pu amener le doute dans ses rangs. Il estima indispensable une consultation des militants, fut sceptique quant à l'échéance de la rentrée mais appela de ses voeux des primaires pour la future présidentielle, une fois franchies toutes les étapes électorales à venir. Il invoqua l'esprit gaulliste de rassemblement, rejeta catégoriquement toute alliance avec le Front national qualifié de « vrai ennemi », et souhaita un dialogue renouvelé avec le terrain, en excluant le recours aux manifestations de rue.

Il fut aussi interrogé sur l'indépendance énergétique et sur la dette de la France, et estima enfin qu'on ne reviendrait sans doute pas sur des dispositions votées comme le mariage pour tous.

Cité en référence, Yves Guéna participait aussi à cette réunion, à l'issue de laquelle, après La Marseillaise, Jean-Paul Daudou a affirmé à qui le lui demandait qu'il allait se présenter, quoi qu'il advienne, aux municipales à Périgueux. Une sorte de « Qui m'aime me suive » à propos duquel Philippe Cornet n'a pas souhaité faire de commentaires, même, si tout au long de la visite de François Baroin, il s'est posé en candidat à la candidature de la liste officielle de l'opposition aux prochaines municipales.

PériblogYves Guéna et François Baroin 2013 © Alain Bernard
PériblogFrançois Baroin, l'ancien ministre du Budget, a volontiers posé avec ses admiratrices 2013 © Alain Bernard

L'autre Chine débarque

Le Falun (roue de la Loi) contient le symbole taoïste du Taiji et le Svastika bouddhiste. C'est l'emblème du Falun GongLe Falun (roue de la Loi) contient le symbole taoïste du Taiji et le Svastika bouddhiste. C'est l'emblème du Falun Gong © Wikipédia

Les prospectus amplement diffusés dans Périgueux auraient pu laisser croire à une expo somme toute assez classique d'art chinois. Il n'en est rien : l'exposition itinérante Zhen, Shan, Ren (Authenticité, compassion, tolérance) présentée jusqu'au 25 mai 2013 au sous-sol du Théâtre est celle, poignante, d'artistes de Falun Gong, mouvement spirituel interdit en Chine, comptant 70 millions de pratiquants. Le Falun Gong est durement réprimé par le gouvernement chinois qui considère que l'organisation est une secte et cherche à le défier.

Un élément fort troublant concernant cette expo est qu'elle est composée de... copies de tableaux. En effet, pour cause de coût des assurances, il n'est pas économiquement possible d'utiliser les œuvres originales pour l'exposition. Les peintres concernés affichent une forte cote, et chaque tableau original resté aux Etats-Unis ou au Canada vaut souvent plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Les toiles accrochées aux cimaises de l'Odyssée à Périgueux sont donc des reproductions de haut vol, réalisées avec un procédé de transfert laser sur un support qui est, ou du moins qui ressemble à de la toile. Ce qui, en tout cas, n'enlève rien au message émouvant et parfois choquant qu'elles transmettent.

Entrée libre. À voir absolument, ne serait-ce que pour vous poser quelques questions.

PériblogBrigitte Guiraud et Patrick Le Corre ont amené l'expo de Bordeaux 2013 © Alain Bernard
Une toile dépictant une descente de police dans la maison d'une pratiquante du Falun Gong. On voit son enfant qui s'enfuit emportant avec lui le livre du mouvement dans le but de le cacherUne toile dépeignant une descente de police dans la maison d'une pratiquante du Falun Gong. On voit son enfant qui s'enfuit emportant avec lui le livre du mouvement dans le but de le cacher 2013 © William Lesourd

La pharmacie au bout de la pièce

C'est nouveau, ça vient d'arriver : à la pharmacie du Toulon, 84 articles de petites urgences, soins de bébé ou parapharmacie, viennent de faire leur apparition dans une armoire extérieure libre-service climatisée, fonctionnant à pièces. En service 7j/7 et 24h/24, c'est la première à Périgueux, mais on en trouve déjà à Sarlat, Brive et Limoges.

La pharmacienne Sylvie Deny avec sa collaboratrice NathalieLa pharmacienne Sylvie Deny avec sa collaboratrice Nathalie 2013 © Alain Bernard

Prenez vos pieds en main

Dans le domaine de la santé encore, notons aussi ce jeudi des consultations gratuites par des spécialistes du pied, de 14 h 30 à 17 heures au Centre d'examens de santé, 17 rue Louis-Blanc à Périgueux. Toujours avec l'organisme social Cassiopea, une rencontre est par ailleurs prévue, pour les doyens, avec des professionnels de la podologie de 10 à 12 heures à la Maison des associations, 12 cours Fénelon.

Le cerf qui promène ses bandages au Musée

Un cervidé digne de ChristoUn cervidé digne de Christo 2013 © Alain Bernard

Le cloître du Musée d'art et d'archéologie est un lieu de choix, à la fois beau et rétro. La semaine passée, il a accueilli successivement, le vendredi, deux cents amis d'Expoésie et, le samedi, la Nuit des musées, en parallèle avec le musée Vesunna (sur le thème des héros).

Disk jockeys et créateurs d'images s'y sont donnés à cœur joie avec, comme point de repère de leur mapping, la sculpture métallique du grand cerf emballée, façon Christo, avec des kilomètres de bandes blanches. Allez, les cerfs !

Musée encore, ce vendredi à 20 h 30, Serge Maury, ex-directeur du Service départemental de l'archéologie, parlera de l'expérimentation en préhistoire.

Pour être au parfum

Le club féminin Soroptimist, que préside Joëlle Huth, propose un rendez-vous original et payant : une soirée parfum ce jeudi 23 mai à 20 h 30 au Lux à Périgueux avec Yves de Chiris, créateur de parfum à Grasse. Enrhumé(e)s victimes du printemps pourri, s'abstenir !

Ils se sont joliment tapé la fraise

Encore un clin d'œil à l'intronisation de Michou l'avant-veille à Montmartre [ voir le reportage sur Périgord à Montmartre 2013 ] : pour la Confrérie de la fraise, Bernard Plantevin arborait de grosses lunettes bleues.

De quoi surveiller l'entrée, sous le regard du député Germinal Peiro et avec la complicité de l'inusable vice-président du Conseil général Jean-Pierre Saint-Amand, de Jacques Billant, troisième préfet de Dordogne intronisé ; de Christophe Gravier, directeur du Comité départemental du tourisme ; et d'André Arribes, maire de Bizanos en Béarn.

Ce dernier était flanqué des Confréries des vignerons de Bizanos et de la cerise d'Itxassou rehaussant de leurs couleurs le pittoresque des confréries du pays comme celle des Farcidures et du Millassou de Sainte-Fortunade (Corrèze).

Orné de drapeaux québécois, Vergt a aussi connu un grand marché fermier et satisfait à midi au traditionnel banquet de la poule farcie avant de faire partager, au goûter, sa tarte cantonale géante, au son du Grand ordinaire. Cette formation désopilante de saxos inclut, sous la baguette de « Patou » Bernard, notre collègue Michel Labussière qui fut autrefois journaliste au journal Dordogne Libre.

Une autre tarte ― celle du concours des pâtissiers ― n'est pas passée inaperçue à cette fête émaillée de discussions autour des municipales. On y apprenait ainsi que René Dupuy, correspondant du journal Sud Ouest, se disait apparemment partant.

Le 2e concours pour professionnels de la pâtisserie a en effet réuni huit candidats, avec un jury présidé par le vainqueur 2012, Jean-Jacques Teillet (qui, à Château-l'Évêque, prépare aussi des sacs à main en chocolat pour la Fête des mères !)

C'est Adrien Rey, de la boulangerie du même nom à Vergt, qui a gagné (n'y voyons pas de favoritisme), suivi de Yoann Grellety, de Cubjac, et de David Racine, du Fournil des Jalots à Trélissac.

De bonnes tartes ? Membre du jury, je peux vous dire qu'elles étaient même excellentes ― les spectateurs l'ont aussi vérifié ―, que le résultat s'est joué dans un mouchoir de poche et que, rassasié, je risque, pour ma part (de tarte !), de ne pas en déguster pour un bout de temps !

Le préfet Jacques Billant, le troisième à être introniséLe préfet Jacques Billant, le troisième à être intronisé 2013 © Alain Bernard
Le Grand ordinaire, ou le saxo très enjouéLe Grand ordinaire, ou le saxo très enjoué 2013 © Alain Bernard
Et le gagnant de la    meilleure tarte est… Adrien Rey, boulanger à VergtEt le gagnant de la meilleure tarte est… Adrien Rey, boulanger à Vergt 2013 © Alain Bernard

À fond, les pistons !

Jacques Besnard, pionnier de la Fête du couteau de Nontron, fana de voitures, exhibe une GMC Sprint de 350 CV, achetée au Texas mais immatriculée en Louisiane. Elle est sortie à 4 500 exemplaires en 1971-72, avec la même carrosserie que la L Camino. J'ai demandé discrètement à l'intéressé si sa belle Américaine consommait beaucoup, il a levé les yeux au ciel…

Est-ce cela qui l'a fait hésiter à descendre dimanche à Périgueux où le Lions Club alignait de belles et puissantes cylindrées pour un rallye des boulevards hélas bien arrosé ?

Achetée au Texas, immatriculée en Louisiane, conduite à Nontron…Achetée au Texas, immatriculée en Louisiane, conduite à Nontron… 2013 © Alain Bernard

La boxe dans un fauteuil

À la Filature de l'Isle, le siège du Boxing-club périgourdin porte le nom de Jacky Belon, champion du monde des poids moyens en 1958. Seul un autre Périgourdin a donné de son vivant son nom à un lieu public : Yves Guéna.

C'est là que ces vendredi 24, 25 et 26 mai vont se dérouler les 5e Championnats de France de handi-boxe, avec 120 concurrents (contre 65 en 2012 dans le Pas-de-Calais), des handicapés à la fois en fauteuil et mentaux. Sachant qu'il s'agit davantage de sport de mouvement et de stratégie que, on l'imagine, d'attaques frontales.

C'est l'importance du club local qui explique le choix de Périgueux pour ce rendez-vous riche de la venue de quatre champions du monde, de l'organisation de débats sur le sport, de rencontres avec d'autres sportifs de Dordogne et d'un grand gala.

La Ville de Périgueux et le Conseil général ont aidé au financement tandis que l'École de police de Périgueux héberge pas moins de 160 participants et accompagnateurs. « Entre la Filature et l'École de police, la boucle est bouclée », plaisante Jean-Paul Dutruch, un des principaux organisateurs, formateur national et lui-même ancien flic.

Contact : 06 85 56 08 64

De g. à d. Jean-Paul Dutruch, Jacky Belon, le président Jean-Jacques Amsallem et le formateur Fred TekfakDe g. à d. Jean-Paul Dutruch, Jacky Belon, le président Jean-Jacques Amsellem et le formateur Fred Tekfak 2013 © Alain Bernard
Jacky Belon sous sa photo de champion des poids-moyens en 1958Jacky Belon sous sa photo de champion des poids-moyens en 1958 2013 © Alain Bernard

Un vide-greniers pour des mangues

D'ordinaire, les vide-greniers se montent au profit d'écoles, de comités de quartier ou d'associations sportives. Cette fois, ce dimanche 26 mai, de 7 heures à 19 heures devant le Théâtre de Périgueux, ce sont les Amis de Yoon-Wi qui, pour le parrainage de plants de manguiers pour développer toute une région côtière du Sénégal, invitent à la fête.

Contacts et réservations (3 euros le mètre linéaire) au 06 51 36 76 48

La poésie au 7e ciel

Pour avoir connu les débuts somme toute modestes d'Expoésie, j'ai envie de dire « Bravo, la 12e édition ! ». Quelle explosion, orchestrée par Hervé Brunaux et ses amis, que ce soit à l'ÉvénemenCiel ; à la bibliothèque municipale avec le poète Jean-Pierre Siméon ; à la librairie Marbot ; à la Visitation avec Patrick Dubost alias Armand le Poète ; au Musée d'art et d'archéologie avec la folle expo Serge Provost (voir plus bas son « Ciel » de petites culottes) ; à la galerie verbale du Paradis, ou encore, malgré la pluie, à la foire à la poésie samedi dernier place Saint-Louis.

Les lèvres brûlent juste de demander où est Michel Grégoire, cet autre passeur de mots que l'on dit sérieusement malade et qui ferait bien de nous rassurer par quelques vers bien troussés…

Dans la chapelle de la Visitation, les 1e arts plastiques de Laure-Gatet avaient reproduit le méga-banc de détritus de l'Océan pacifiquDans la chapelle de la Visitation, les 1e arts plastiques de Laure-Gatet avaient reproduit le méga-banc de détritus de l'Océan pacifique 2013 © Alain Bernard
Omniprésent, Patrick Dubost alias Armand le PoèteOmniprésent, Patrick Dubost alias Armand le Poète 2013 © Alain Bernard
PériblogLe Ciel de petites culottes blanches monté par l'artiste périgourdin Serge Provost 2013 © Alain Bernard

Dédicacer au moulin

Dans le cadre des Journées des moulins, le week-end dernier, le moulin de Taillepetit à Annesse-et-Beaulieu avait monté une fête médiévale avec dédicace d'ouvrages d'auteurs de la région.

Réunissant les éditions Arka autour de José Santos-Dusser, Jean-Pierre Prout, Martine Sombrun-Tesnière, les historiens Catherine et François Schunck et les auteurs qui apparaissent sur cette photo, cette séance n'a guère été concluante.

Pour avoir participé des dizaines de fois à pareils salons du livre, je me demande s'il ne faudrait pas en remanier la formule sous peine de voir, toute la journée, des visiteurs défiler devant des auteurs sans réel contact. La seule consolation n'est alors pour ceux-ci que de… sympathiser avec d'autres manieurs de plume qui n'ont pas, eux non plus, osé refuser de venir aux organisateurs de fête les ayant aimablement invités !

De g. à d. les auteurs Nicolas Bouvier, Michel Dupuy, Marie-Christine Cavenelle, Lionel et Nathalie RobinDe g. à d. les auteurs Nicolas Bouvier, Michel Dupuy, Marie-Christine Cavenelle, Lionel et Nathalie Robin 2013 © Alain Bernard

Rêveries d'artiste

Évelyne Berthier, de Bouniagues, a jusqu'à la fin de la semaine accroché ses peintures dépouillées et colorées aux cimaises de L'App'Art dans la rue Arago qui, décidément, apparaît comme la galerie périgourdine de la qualité.

Un art dépouillé et coloréUn art dépouillé et coloré 2013 © Alain Bernard

Les notes et les mots pour le dire

Attaquant son récital par un tonique « Nobody knows », la chorale de l'Université du temps libre (UTL) conduite par Michèle Géraud, a donné mardi, au Théâtre, son concert de clôture de l'année active. Mais innovation, elle avait invité le club périgourdin de poètes Les Hydropathes, à dire des vers. Beaucoup ont tourné autour de Jean Boussuges, co-créateur du club.

La chorale de l'UTLLa chorale de l'UTL 2013 © Alain Bernard

Nouvelle mairie, c'est dans la boîte !

Périblog s'est fait l'écho d'un mini-débat qui a agité le microcosme municipal : fallait-il ou non rétablir, à la nouvelle mairie, les boîtes aux lettres pour la presse trônant dans le hall d'entrée de l'ancienne ? Compte tenu de la virtualisation d'une partie du courrier, la question se posait pour certains.

La raison semble avoir prévalu et les boîtes devraient trouver leur place, continuant à remplir leur rôle de carrefour pour l'information-papier. Pas de problème en revanche pour les plaques de rues : aux quatre coins de l'ex-place de la mairie, on lit bien « Place de l'ancien hôtel-de-ville ».

Auteur Alain Bernard

Et prochainement après ces échos...


Le tambour du Coderc – 25 mai 2013

Le garde champêtre d'antanLe garde champêtre d'antan 2013 © Pascal Labory

Pour ce samedi, le Tambour du Coderc évoquera Sylvain Mennick, jeune cinéaste périgourdin, rencontré au marché en repérage, ainsi qu'une nouvelle fabricante locale de cakes et un apiculteur de Champcevinel au seuil de la saison.

 

voir, le Tambour du Coderc ]


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