Alain Bernard au fil de l'Isle - échos 22 AVRIL 2013 jeudi 25 avril 2013

Au fil de l'Isle Chaque semaine retrouvez sur Périblog les échos, les chroniques ou d'autres textes rédigés par Alain Bernard

Tourisme cinq étoiles

Parmi leurs grands moments de lecture matinale, les Périgourdins ont eu droit mercedi dernier à l'apparition, vaguement hirsute mais quand même pas menotté comme DSK jadis, d'un de leurs concitoyens trélissacois, Philippe François. A savoir l'ancien directeur de l'École de Savignac devenu consultant international de tourisme, une success story qui, sur fond de déclarations fondatrices d'avenir, suscite sans doute autant d'admiration que de jalousie.

Mais la question du moment était plus précise. Philippe François et sa femme ont été mis en examen sur des raisons assez techniques d'homologation hôtelière et d'effectifs. Puis élargis même si l'on apprenait qu'ils étaient surveillés depuis un an, quitte à ce que justice rime un peu avec acharnement.

De deux choses l'une : s'ils sont coupables, ils doivent payer ; s'ils sont blancs comme neige, chose que forcément ils clament, alors ils doivent... quoi, au fait ? Cloués au pilori dès le départ au niveau du grand public, cités à la une d'une façon qui laissera des traces même s'ils sont blanchis, on se demande à vrai dire quelle sera leur marge de manoeuvre même s'ils reviennent à la case Tourisme du Monopoly périgourdin.
voir ici l'interview de P. François publié en octobre 2012 ]

Philippe François, chantre du développement touristique durablePhilippe François, chantre du développement touristique durable 2013 © Alain Bernard

Darcos académicien ?

Ancien maire de Périgueux et ministre de l'Éducation nationale, aujourd'hui grand patron de l'Institut français (culture et langue françaises à l'étranger), Xavier Darcos vient de faire acte de candidature pour les élections du 13 juin à l'Académie française, qui doivent y amener un successeur au siège de Pierre-Jean Rémy. Cet écrivain, sous le nom de plume de Jean-Pierre Angrémy, est décédé en 2010. Il avait été diplomate, directeur de la Villa Médicis à Rome et président de la nouvelle Bibliothèque nationale de France.

L'apéro au tournant

Vous voulez prendre l'apéritif dans un tournant accentué ? Manger une bricole sans dépasser le cinquante ? Dire stop aux calories ? Alors, allez à la terrasse de Nougatine, place de l'Hôtel de ville, où l'on vient d'installer des tables rondes constituées de panneaux routiers posés sur des pieds. Elles ont été acquises mercredi à la très remarquée vente aux enchères consécutive à la malheureuse liquidation d'Initial's Chef.

En fait, ce type de tables a déjà, depuis des années, inspiré tout un art original. Il a notamment été illustré à Sarlat par le créateur Costa, qui l'a largement diffusé...

Des tables... comme sur la routeDes tables... comme sur la route 2013 © Alain Bernard

Les troubadours sur la place

Magiciens, conteurs, jongleurs, chanteurs, duellistes, enlumineurs, tisserands, chevaliers et gentes dames, sculpteurs, chasseurs de trésor, forgerons et potiers ont investi dimanche la place Saint-Louis, la rendant méconnaissable. Le public était souvent au coude-à-coude, avec même de simples citoyens costumés.

Pour leur deuxième fête médiévale après celle du château Barrière l'an passé, 35 étudiants des deux départements de l'IUT de Périgueux ont fait un tabac, dans un cadre universitaire. Comme l'expliquait en effet Dominique Audrerie, pour l'IUT-tourisme, il s'agissait d'

« un projet tutoré dont l'organisation entre directement dans la notation de l'année. »

Un sculpteur sur pierre à l'œuvre. A sa droite, en chevalier, l'ex-professeur Dominique DucretUn sculpteur sur pierre à l'œuvre. A sa droite, en chevalier, l'ex-professeur Dominique Ducret 2013 © Alain Bernard

En tout cas, avec les possibilités qu'il ouvrait de se distraire, de participerFpareau à des ateliers, de se restaurer et aussi de s'instruire, ce dimanche médiéval a largement prouvé qu'il y aurait place à Périgueux pour une animation de qualité le week-end, qu'il faut trop souvent aller chercher dans les communes alentour.

En fait, si Périgueux offre parfois en fin de semaine des rendez-vous associatifs, sportifs ou culturels, ce n'est guère monnaie courante. Et cette fête a confirmé qu'un large public existe pour des manifestations dominicales régulières, propres aussi à doper le commerce, notamment les cafés. Un public heureux d'oublier la fameuse chanson de Juliette Gréco « Je hais les dimanches… ». Hmm, c'était quoi déjà le refrain ?...

Les chants polyphoniques étaient aussi à l'honneurLes chants polyphoniques étaient aussi à l'honneur 2013 © Alain Bernard
Maîtres du Moyen-Age pour l'école de dessinMaîtres du Moyen-Age pour l'école de dessin 2013 © Alain Bernard
Fête médiévale bonne pour le commerceUne fête comme celle-ci est propre à doper le commerce local 2013 © William Lesourd

[ Voir ici le reportage photo de William

Cartes postales des bords de l'Isle

À l'issue du 23e congrès des professionnels de la carte postale à Paris, la Souris Verte — l'un des cinq éditeurs qui mettent la Dordogne en deuxième place nationale — fait savoir que le prochain congrès se tiendra à Périgueux, dans un an. Vraiment, mieux vaut une petite souris verte qu'un gros rat noir !

Collégiens du 7e art

Le cinéma est entré il y a belle lurette dans les écoles, mais il fait toujours florès lorsqu'il amène à se rencontrer jeune public et monstres sacrés. Cela vient d'être le cas le 18 avril, au collège Clos-Chassaing où, sur fond de jumelage avec le collège Erasmus d'Amberg, Jean Gabin et Jean Renoir se sont croisés sous le feu des projecteurs des chefs-d'oeuvre « La grande illusion » et « French Cancan ».

Ce fut un bel exercice mêlant cinéma, histoire et théâtre après un long travail de préparation avec, pour chaque atelier, des profs et des potaches de 3e-4 et de 4e-2 très motivés. La coordination générale était assurée par Christophe Gauthier, enseignant en histoire, rompu à ce type d'animation multidisciplinaire.

Périblog« La grande illusion » réinventée par les jeunes de Clos-Chassaing 2013 © Alain Bernard

Remonte ton folk

On a déjà apprécié le nom facétieux de ce groupe d'inspiration occitane, tourné vers la musique populaire : « Remonte ton folk ».

Sur le thème « Dansons l'Europe», il invite cette fois à un bal samedi prochain 27 avril à 20 h 45 à la salle des fêtes de Sarliac-sur-l'Isle. Entrée : 8 euros, 5 pour les lycéens, gratuit pour les enfants.
Renseignements : dansonsleurope(@)gmail.com (sans les parenthèses)

Il s'en paye une tranche

Olivier Beaugier affirme

« avoir été le seul promoteur présent au récent Salon de l'habitat de Périgueux ». Il est vrai que, dans une agglomération où la construction est surtout le fait des HLM, il affiche une certaine ténacité en matière de construction privée.

C'est ainsi qu'après sept ans d'attente du dossier, son agence Pichet vient de mettre en vente, sur plans, 23 appartements du T2 au T4 qui correspondent à la deuxième tranche prévue sur l'ex-site de Lehm. Celui-ci, initialement propriété de la ville de Périgueux, fut un moment choisi — avant d'être abandonné — pour décentraliser une partie de la mairie.

L'Architecte des bâtiments de France a notamment imposé que ces nouveaux bâtiments recouverts de tuile et d'ardoise, livrables début 2015, offrent une silhouette dessinant la façade de quatre maisons différentes. Ils sont par ailleurs construits aux nouvelles normes basse consommation, génératrices d'avantages financiers.

Olivier Beaugier a attendu sept ans pour cette deuxième trancheOlivier Beaugier a attendu sept ans pour cette deuxième tranche 2013 © Alain Bernard

Des tags, encore des tags

Même si certains ont voulu les élever au rang des beaux-arts, les tags qui se multiplient malheureusement un peu n'importe où constituent une plaie sociale en général et une souffrance pour l'œil en particulier. En parler, comme pour le terrorisme, c'est leur faire trop de publicité. Une exception ? Jacques Clérin, lecteur de Périblog à Périgueux, signale que ceux qui ont fleuri (si l'on peut dire) sur les murs récemment repeints d'ERDF rue des Deux-Ponts et rue La Fontaine (vers le canal), ont hélas une signification sociale autour de la trêve hivernale, des coupures de courant et du combat social. Chacun en pensera ce qu'il voudra.

Un homme de tête

Laurent Pareau immortalisé par un autre confère, Jean-Noël PérezLaurent Pareau immortalisé par un autre confrère © Jean-Noël Pérez

Photographe à Périgueux, Laurent Pareau vient de récolter le titre envié, dit-on, de Portraitiste de France, aux Rencontres bisannuelles de la photo professionnelle à Tours, sous l'égide du Groupement national de la photo pro. Cette distinction est également échue à deux autres rois de l'objectif périgordins, portant le même prénom : Alain Guyot de Bergerac et Alain Vergez de Lalinde. Ne risque plus maintenant qu'à leur tirer le portrait !

Un portrait de la famille Cros prise voici deux ou trois ans © Laurent PareauUn portrait de la famille Cros (du Irish Corner) prise par Laurent voici deux ou trois ans © Laurent Pareau

Paysans et préhistoriens

Ce dimanche 28 avril à 20 h 30 au cinéma Lux au Buisson, Sophie Cattoire dont le studio jouxte le gisement de La Ferrassie près du Bugue, va projeter son film sur Bernifal et la passion qu'a engendrée cette grotte chez ses propriétaires agriculteurs les frères Pémendrant, dont un seul survit mais continue à faire visiter la cavité ornée.

Sophie Cattoire a déjà remporté de nombreuses distinctions, dont la dernière au festival de Nyon (Suisse), au cours de son aventure-passion pour filmer la véritable préhistoire périgordine.

Deux prénoms pour un nom

Au Village Vacances Familles de Sorges, une cérémonie amicale a marqué les 70 printemps d'Alain Robert, ancien marin puis pompier à Périgueux qui, ensuite à Sorges, a incarné la meilleure animation tous azimuts, génératrice de vie pour les habitants du cru et d'attrait pour les touristes.

De même qu'à Périgueux il avait contribué à des fêtes mémorables comme L'Isle en folie, à Sorges il a, avec sa femme Nicole, galvanisé les énergies pour émailler l'année de tas de moments festifs qui ont forgé sa renommée. Entre autres cadeaux, il a reçu un numéro du journal « L'Avenir de la Dordogne » du 31 mars 1943, jour de sa naissance…

Alain RobertAlain Robert avec le journal du jour de sa naissance 2013 © DR

Tempête et création mondiale

C'est ce samedi 27 avril à 20 h 30 à l'Agora de Boulazac que va être donné, en création mondiale, « La fin dau monde » (La fin du monde), oratorio en occitan de Bruno Rossignol, sur un texte de Jean-Yves Agard, dont Périblog a déjà évoqué la préparation. [ voir la préparation ici ]

Servie par l'Ensemble instrumental de la Dordogne et de nombreux choristes périgordins, cette œuvre s'inspire directement de la tempête de 1999, encore présente dans les mémoires.

Un poing, c'est tout

Méritent le détour : les séances d'entraînement à la boxe éducative, pré-combat et amateur qui, à la Filature de l'Isle, le lundi et le vendredi soir ainsi que le mercredi après-midi rassemblent les jeunes pousses du ring — sans oublier les entraînements des hommes et des femmes de 18 à 78 ans en boxe-loisir le mardi et le jeudi soir et le samedi matin.

Le Boxing-club périgourdin prépare en même temps, du 24 au 26 mai, le 5e Challenge Gilbert-Joie, championnat de France handi-boxe qui, en 2012, s'est déroulé dans le Pas-de-Calais.

Boxeurs sur un ring de la FilatureSur un ring de la Filature 2013 © Alain Bernard

L'Islam, courants et mouvements

« Mieux comprendre les différents courants de l'Islam » : c'est ce à quoi invite ce vendredi 26 avril à 19 heures à la mairie d'Excideuil, le spécialiste Dominique Charmes, convié par le Rotary-club excideuillais.

Il parlera spécialement du schisme entre sunnites et chiites et de son impact dans le monde actuel.

Des oreilles et des hommes

Sous l'égide de l'Agence culturelle départementale, jusqu'en juin, trois collectifs artistiques interdisciplinaires, Abrascia, Sylex et Ouïe-Dire, sont en résidence à l'espace François-Mitterrand pour promouvoir, chacun en quinze jours, des créations innovantes. Elles mêlent musique bien entendu, mais aussi installation plastique, photo, vidéo, danse, poésie ou nouvelles technologies. Des restitutions publiques de ces travaux assez déconcertants sont prévues en fin de mois.

Le collectif Abrascia a ouvert la marcheLe collectif Abrascia a ouvert la marche 2013 © Alain Bernard

La Mandragore dans sa mue

Rue Limogeanne, Pascale et Jean-Yves Lecreux continuent à investir La Mandragore où, venant de Castelsarrasin, ils ont succédé aux libraires Marie et Gérard Chastang.

Serge La Barbera, samedi à La MandragoreSerge La Barbera, samedi à La Mandragore 2013 © Alain Bernard

Soucieux d'intégration, ils participaient encore mardi soir à l'inauguration de la supérette rénovée face à la mairie. Samedi dernier, c'était non pas « leur première surprise-partie » (pour reprendre le titre d'un air fameux des sixties !), mais leur première dédicace, avec Serge La Barbera. Ce prof d'histoire au lycée Laure-Gatet, spécialiste d'histoire tunisienne contemporaine, a présenté son ouvrage de réflexion et de fiction « Le Syndrôme de Salammbô », paru chez Allia. Salammbô, nom d'héroïne antique, n'a en fait été pris par aucune commune de Tunisie, mais par une clinique proche de Carthage…

Le lancer du disque

La proportion est vraiment intéressante : sur deux cents spécialistes du disque participant en France au « Disquaire Day » — journée militante mondiale des disquaires indépendants —, deux étaient, samedi dernier, de Périgueux.

Il s'agissait de La Démothèque, au Greffe, magasin emblématique mobilisé pour la troisième fois, et Marbot alignant ses rayons de lettres, sons et images. Ils invitaient notamment à des concerts gratuits : l'un avec Patrick Gunn, l'autre avec Les Fils du poissonnier, puis la harpiste Cécile Lencement accompagnée à la guitare.

Chez Marbot, pour le Disquaire Day, la harpe et la guitareChez Marbot, pour le Disquaire Day, la harpe et la guitare 2013 © Alain Bernard

Le bon créneau

L'assemblée générale de Renaissance du Vieux Bruzac vient, à Saint-Pierre-de-Côle, de rappeler l'enjeu du colossal travail de restauration qu'ont mené, aux châteaux de Bruzac, depuis un quart de siècle, Jean-Pierre Pouxviel, de Périgueux, sa femme Sonia Breux-Pouxviel et leurs amis (« Pouxviel » signifie « vieux puits » en occitan).

Débroussaillage permanent, visites estivales gratuites du site, animations historiques, expos et ateliers, fêtes et repas médiévaux, participation aux Journées du patrimoine, nouveau Festival de la Côle (avec, en 2012, un thème remarqué sur le fil), perspectives de rapprochement avec d'autres associations-sœurs, nouveau chantier architectural : l'association ne manque pas de pain sur la planche, même si ce pain est produit au four banal.

Costumée, Sonia Breux-Pouxviel est à droite  ; Jean-Pierre Pouxviel, entre les deux jeunes médiévales, semble très sensible  sa voisine à droite… Costumée, Sonia Breux-Pouxviel est à droite ; Jean-Pierre Pouxviel, entre les deux jeunes médiévales, semble très sensible sa voisine à droite… 2013 © Alain Bernard

Des notes, des fantômes, des livres

Jean-Luc Aubarbier entre Hautefort, Cathares et TempliersJean-Luc Aubarbier entre Hautefort, Cathares et Templiers 2013 © Alain Bernard

Valentine Castanier et Loni Mahé, jeunes pianistes, ont été, dans des œuvres Scarlatti et Bach les invités-surprises de la première séance publique, le 19 avril, du CEP, le Cercle des écrivains du Périgord — comme on dit le Cercle des poètes disparus —, animée par Michel Lionnet à l'EvénemenCiel, rue du Plantier.

Les deux invités du jour étaient Martine Sombrun-Tesnière pour « La Maison aux deux visages » illustré par Sylvie Marty, et, pour son « Je me souviens du Général », Michel Testut, cofondateur du CEP avec André Added.

Un autre débat est prévu ce vendredi 26 avril à 18 heures au même lieu avec Jean-Luc Aubarbier sur « le 21e siècle sera-t-il spirituel ou fanatique ? ».

Mardi, ce libraire sarladais, auteur très productif depuis trente ans, a par ailleurs présenté au Club de la presse du Périgord ses trois derniers ouvrages : « L'Honneur des Hautefort » (éd. De Borrée), « Guide secret du Pays cathare » (éd. Ouest France) et « Les sites templiers du Sud-Ouest » (éd. Sud Ouest) avec quelques fantômes du temps jadis…

Valentine Castanier et Loni Mahé au piano de L'EvénemenCielValentine Castanier et Loni Mahé au piano de L'EvénemenCiel 2013 © Alain Bernard

Auteur Alain Bernard

Et prochainement...


Le Tambour du Coderc

Foi gras à ChicagoDes boîtes personnalisées sur Lascaux 3 au Field Museum de Chicago, fier par ailleurs de son fameux squelette de T.Rex Sue 2013 © DR

Sur le marché, le tambour continue à offrir ses roulements. Pourtant, c'est sur la petite place voisine Saint-Silain que l'on écarquille les yeux : Francis Delpey vient de ramener de Chicago des boîtes de pâté et foie gras que son ami le chef installée là-bas Didier Durand a mis en conditionné spécialement pour l'exposition de Lascaux 3 au Field Museum.

Avec ce chef français, il a animé toute une initiation gastronomique à la cuisine préhistorique, sur la base de l'ouvrage du même nom qu'avaient publié chez Fanlac, pour le Salon du livre gourmand de Périgueux 1992, Alain Bernard et Marylène Patou-Mathis, avec illustrations de Marcel Pajot.

voir ici le dernier Tambour du Coderc ]


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Commentaire de Anonymous Anonyme , le 27 avril 2013 à 18:02  

Une très bonne remarque concernant les animations les dimanches à Périgueux, les rues ont été animées tot le matin et jusqu'à la fin d'après-midi. La semaine passée le vide grenier place du théâtre avait attiré beaucoup de périgourdins, à quand des dimanches vivants ? les touristes doivent trouver cette ville bien triste et morte!!!
Une autre remarque un manque d'information sur les dédicaces et animations culturelles ex les 2 librairies samedi dernier. Merci d'avance de faire beaucoup pour cette ville.

Commentaire de Anonymous Alain Bernard , le 27 avril 2013 à 18:06  

Il serait absurde de dire que Périgueux est une ville morte. Elle compte notamment beaucoup d'associations. Il suffirait qu'elles trouvent des occasions de s'exprimer publiquement, comme lors de cette fête médiévale, pour que la vie locale en soit boostée, spécialement les dimanches et jours de fête. A. B.

Commentaire de Blogger Aredius44 , le 28 mai 2013 à 16:05  

Bonjour,

Je pensais trouver des messages sur l'auteur de St-Astier, Louis Tamain (qui est aussi un sculpteur). Ai-je mal cherché sur ce blog ?
Dans son livre "Le temps de l'école" il consacre un chapitre aux activités de l'Ordre du Bitard (lst) à Poitiers. Je ne pouvais donc rater cet auteur périgourdin.
http://lefenetrou.blogspot.fr/search/label/Bitard%28L.S.T.%29

Commentaire de Anonymous Alain Bernard , le 29 mai 2013 à 15:32  

Cher Monsieur, vous avez tout-à-fait raison d'évoquer le souvenir de Louis Tamain, auteur et pédagogue périgordin quelque peu oublié désormais mais qui me fait penser également à Léonce Bourliaguet dont d'anciens potaches, aujourd'hui bien âgés, perpétuent toujours le souvenir. Et un clin d'oeil s'impose aussi à l'Ordre du Bitard qui, à Poitiers, a maintenu des traditions paillardes datant du temps mythique des études de Rabelais. Là, un de mes confères de "Sud Ouest", Didier Pigneau, avait même réussi, comme président de la confrérie de la Faluche à se faire inviter au sacre de Bokassa 1er, en 1977 !

 

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