Faire sa propre chance et faire fis de la malchance mardi 7 août 2007

Pourquoi faut-il, nos affaires semblant s'arranger après une période de vaches maigres, que tout à coup une facture oubliée resurgisse des tiroirs ou qu'un découvert autorisé ne le soit plus, vous plongeant dans le désarroi financier le plus total? C'est avec ce genre de coup de massue que l'on se retrouve à la case départ et que l'enthousiasme acquis quelques jours auparavant se ratatine d'un tout en un rien.

On dit que l'on fait sa propre chance et je souscris sans réserve à cette maxime ; mais allez dire cela à quelqu'un qui a mis toutes ces tripes dans un projet pour ne réaliser au bout du compte qu'une avance insignifiante, et vous risquez de susciter son incompréhension, voir sa colère.

Il ne faut surtout pas se laisser abattre : voici une autre maxime qui devrait retenir l'attention de toute personne ayant subi une débâcle qui somme toute n'est que temporaire.

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Commentaire de Anonymous Anonyme , le 8 août 2007 à 09:42  

Parfois, c'est un peu comme donner des coups de bâton dans l'eau : ce que l'on fait ne sert à rien !!! Et puis, un jour, une rencontre, un autre jour , une autre recontre et petit à petit, on avance sans même sans apercevoir. Bon courage à toi. Biz. TTNE

 

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