Blues au Macadam Jazz mercredi 18 juillet 2007

Contrairement à ce que j'avais promis la nuit dernière, dans mon article sur le feu d'artifice du 14 juillet, je ne parlerai pas de ce qui m'avait affecté alors que, j'assistais la veille au concert donné par le groupe Trio Frédéric Monino jardin du Thouin.

CalimeroLorsque j'ai dis que j'allais apporter plus d'information dans l'article d'aujourd'hui, j'avais un peu de Calimero en moi, et la coquille m'empêchait de raisonner clairement. Je ne peux publier des articles ayant rapport aux sentiments personnels. Ce genre de sentiments ne font vraiment pas partie du domaine publique. Il faut les réserver pour soi même et pour un club très fermé d'amis intimes. Si je le faisais, je ne doute pas de l'effet thérapeutique que cela aurait sur moi, mais il est vrai aussi que cette impudeur mettrait mes lecteurs mal à l'aise.
Macadam Jazz - Trio MoninoQuant au concert, et bien comprenez que je n'avais pas trop la tête à l'apprécier à sa juste valeur (encore cette sacrée coquille qui assourdissait les notes). Durant l'interlude, alors que je feuilletais un bouquin, une jeune femme m'a demandé quel en était le titre. Nous avons bavardé puis nous avons écouté le reste du concert ensemble ; cette diversion providentielle a rendu la gélule dont je parlais hier plus facile à avaler.

Musicalement, il y avait comme toujours, quand il s'agit de jazz, des moments intéressants et d'autres qui pouvaient être un peu enquiquinant. L'orchestre avait, grâce à l'accordéon, un petit air de Marcel Azzola, ce qui était assez sympa. Je préfère le piano pour ma part, mais il faut bien satisfaire tous les goûts ; et puis l'accordéon n'est-il pas le parent pauvre du piano ?

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